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Invité
PROFIL RPGHey ! Moi c'est Invité et ici, je vais te parler un peu de
Pokémon Sylphium
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| Sujet: Fictions & Nouvelles Inachevées. Mar 24 Nov - 13:06 | |
| Etant donné que j'adore ça, j'écris beaucoup. J'ai du commencé masses fictions, et écrits pas mal de petits textes pour le fun. Malheureusement, je suis très con exigeant avec moi même et la plupart de mes travaux ont été supprimés par mes soins. J'en ai retrouvé quelque uns, et si ça vous intéresse, je vous les mets à disposition pour les lire. V'la !
On va commencer par un petit texte écrit à l'arrache :
- Spoiler:
La sonnerie avait enfin retenti. Comme tous les jours, ses camarades se précipitaient à l’extérieur des salles de classes, courant rejoindre leurs amis disséminés dans tout le campus. Encore aujourd’hui, il avait été le dernier à sortir, seul, sans personne pour l’attendre ni même lui dire un simple au revoir. C’était triste, mais il en avait l’habitude. Tout le monde l’évitait, tout le monde fuyait ce petit être blafard, faible, malade, que la mort semblait déjà avoir pris, comme si ils ne voulaient pas attraper le même mal inconnu qui le rongeait. L’école s’était vidée. Il la préférait comme ça, sans personne pour le dévisager, sans éclats de voix qui se transformaient en murmures sur son passage. Il ajusta ses lunettes et, sac sur les épaules, il entreprit de sortir de l’école pour aller prendre son autoporteur. Il soupira. Encore une fois, l’attente pour l’autoporteur était longue et la foule de personne était encore massive. Enfin, le véhicule arriva. La foule s’agglutinait à ses portes. Bien entendu, tout le monde pouvait y rentrer, comme à chaque fois, mais les gens préféraient toujours se bousculer pour tenter d’entrer le plus vite. Ce n’était qu’une fois que le gros de la masse furent tassés comme des bœufs dans l’autoporteur qu’il se décida à y rentrer. Encore une fois, il serait à la limite d’être écrasé contre la vitre de la porte du véhicule. Il soupira de nouveau. Tous les jours, la même musique, perpétuelle. Ces visages sombres, fermés, un silence lourd brisé par un groupe de quelques étudiantes joyeuses. Déprimant. Les administrateurs de la cité étaient contents. La ville bougeait, la ville se reconstruisait vite, mais cette routine monotone n’était-elle pas aussi un signe de la plus grande des immobilités ?
Ensuite un texte tiré d'un atelier d'écriture dont le thème était le Conte.
- Spoiler:
- Il était une fois - Ta gueule le prince ! Je sors mon arc et je l'allume. - Arthur putain ! T'as déjà perdu un oeil dans le chateau avec tes conneries. - J'men fous, j'le bourre. - Ok alors lance tes dés. Mais t'as un malus à la visées vu que t'es borgne mon gars. On lança des dés et un juron fut poussé. - Et ben loupé. La flèche va se planter dans un des portrait du mur. Mais malheureusement, ça a vénèr le Prince qui vous crie : "Vous osez m'affronter? MOI? Le Prince de Lu? Maître de ces lieux et de l'élégance raffinée?" - Maître des tapettes aussi, avec ton château et ton armure rose. - Arthur PUTAIN ! Prince, Les Fées Papillons nous ont demandé de récupérer leur vase magique. Et on sait que c'est toi qui l'a volé! - Le tapis rouge du prince commence à s'envoler, lui dessus, il tient le vase que vous convoitez. Il vous nargue : "Si vous battez mon armée de chevaliers vaillants, je reconsidérerait la chose!" Et là, il sort de partout des chevaliers en armure rose et ils font barrage entre vous et le Prince. La porte derrière vous se ferme. - J'les bouuuuuuuuure! - Ok. Et toi Gary? - Ben je sors mon bâton et je lance le sort de la Méchante Boule de Feu Magique. - Arthur sera touché. - Pas grave. - Connard. - lance tes dés. On lança donc des dés. - Aaaaaalors ! Critique. Ta boule de feu arrive au milieu de tout le monde. En plus des dégats de base, ils subissent tous une brûlure au trente-sixième degré. Tous les chevalier meurent carbonisés. Arthur aussi. Le tapis du roi prend feu avec le Prince. Il se casse la gueule et le vase se brise dans la chute. Que fais tu? - T'es vraiment un bâtard Gary. - Heu... Les fées acceptent les morceaux?
Pareil qu'au dessus, sauf que le thème était la porte.
- Spoiler:
J’ai ouvert la porte.
Je ne savais pas à quoi m’attendre. Je ne voulais pas l’ouvrir. Mais la force de la peur ou de la curiosité m’a poussé à le faire. J’ai ouvert la porte. Certain diraient que c’est un geste anodin, d’ouvrir une porte. Dans ce cas précis. Non Pourquoi ? Demanderaient-ils. Serais tu une tarlouze ? Ajouteraient-ils. Et bien peut être le suis-je, ou l’ai-je été sur le moment. Mais cette porte, je l’ai ouverte. J’avais un très mauvais pressentiment quand je suis arrivé devant cette porte. Pour la simple et bonne raison que je ne me souvenais pas comment j’avais atterrit ici. Pis cette porte foutait les chocottes. Elle n’avait beau être qu’un battant de bois sans motifs spécifiques et une poignée en métal que j’imaginais froide, il se dégageait de cette porte une aura inexplicablement terrifiante. Et ce « Inexplicablement Terrifiante » paralysait chaque partie de mon corps. Pourtant, j’ai ouvert la porte. Inexplicablement terrifiante, c’est le mot. Comme tous ces contes et légendes urbaines. L’humain ne peut se résoudre à croire ce qui n’est pas expliqué scientifiquement. Mais est ce que le fait de ne pas y croire efface l’existence d’êtres surnaturels ? Si les scientifiques n’ont jamais réussi à prouver l’existence de démons ou autres chimères, ils n’ont jamais non plus prouvé la non existence. Et pourtant, ils restent tous dans notre imaginaire collectif. Mais pour combien de temps ? Combien de temps faudra t-il pour que tous sortent de notre tête et plongent le monde dans le chaos ? Vous ! Tous vous avez déjà eu cette sensation où, une journée, rien ne se passe comme prévu. Comme si une force supérieure et invisible s’acharnait à vous casser les couilles à longueur de journée ? Ben là, c’était pareil. Cette porte m’inspirait tout ça. Et pourtant je l’ai ouverte.. Putain quoi ! Suis-je fou ? Non, je ne crois pas. Trouve t-on toujours ce que l’on cherche ? Surtout le surnaturel ? Oui. Mais je n’y croyais pas avant. Pas avant cette porte. Adrénaline ! J’ai pris une grande inspiration, fermé les yeux et ouvert cette foutue porte ! Je me suis réveillé.
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