Après tout ce qui s'était passé, j'avais bien besoin d'un moment de repos. J'étais toujours une fille, j'avais toujours pas trouver de quoi redevenir normal, je m'y était à peu près habituer mais je comptais toujours trouver une solution à ce problème. Cette état des choses avait pas mal compliquer mon travail de policier, déjà, j'avais laissé un drôle de type se foutre de ma tronche et se barrer, j'aurais pas du et puis, c'était compliqué de reconnaître les collègues. Le plus dur, ça resté d'être calme en face de ma collègue devenue un canon de beauté! Enfin bref, j'avais bien besoin de repos et rien de mieux pour se reposer qu'un pic-nique au bord du fleuve !

J'avais tout prévue, à manger, une grosse serviette, des jouets pour que mes pokémons puis jouer ! Tout était parfait et préparer, je n'avais plus qu'a m'installer et faire sortir mes pokémons.. Je trouva un lieux assez sympa, il y avait un grand arbre ou on pourrais se mettre à l'ombre et le fleuve pas loin ! Bon par contre, pour se baigné, ce serait non, le courant me semblait beaucoup trop fort et j'avais pas très envie de risquer l'un de mes pokémons. Je posa doucement mon sac, tranquillement, sifflotant joyeusement quand j'entendis un bruit dans les buissons. Intriguer, je m’avança vers les buissons en question, c'était sûrement un pokémon qui avait remarquer que j'avais de la nourriture

J'étais tout prés du fameux buisson quand je vis avec horreur un cradopaud en sortir, je dégluti, j'avais horreur des cradopauds. Je poussa un glapissement en reculant et en frémissant, c'était un pokémon qui me faisait horriblement peur et ça depuis tout jeune. Pour comprendre ce que je ressentais envers ce pokémon à la face tordu par un sourire sadique, il fallait remonté très loin dans mon passé !

Je devais avoir 5 ou 6 ans quand un homme vins nous confier son cradopaud qu'il n'arrivais pas à faire évoluer. J'étais très curieux à l'époque et j'avais tout fait pour prendre soin de ce pokémon même si je l'avoue, j'avais un peu peur de le croisée dans le couloir la nuit. Je ne sais pas pourquoi, mais un beau jour, ce pokémon me pris en grippe, il ne pouvait pas me blairer ! Plusieurs fois, le pokémon tenta de me faire tomber par terre. J'en parla a mon père bien entendu mais il pris ça à la rigolade, pensant que j’exagère. La goute d'eau fut quand, par hasard ou éxprés, le pokémon me lança un directe toxique dans le ventre. Cette fois-ci, mon père du bien avouer qu'il se passé un truc, il demanda au dresseur de récupéré le pokémon en s'excusant mais depuis, je peux vraiment plus voir ce pokémon.

Je recula de plusieurs pas, espérant que le pokémon poison s'en aille. Je lui lanca de la nourriture pour qu'il est ce qu'il veux puis parte.

Allez ! Va t'en de la !

Malheureusement, le pokémon croassé joyeusement en me regardant et en mangeant ce que je lui avait lancer. Il ne reparti pas, au contraire, le cradopaud, qui me semblait être un mâle, s'avancer vers moi tendis que je reculé toujours plus.

N'a... N'approche pas sale bête !

Rien à faire, le pokémon continuais de me suivre, sûrement voulait il encore a manger ? J'aurais peut être du lui lancer un cailloux ? Je me senti soudainement glisser, je parti en arrière, je m'attendais a sentir un choc mais non... juste un plouf, je venais d’atterrir dans le fleuve qui m'emporter dans son courant. Par chance, je réussi à m’accrocher à rocher, je remonta à la surface.

Bon, il faut retrouver mon sac !

J'éspérais que ce pokémon serait parti quand je serais de retour. Une heure après, j'arriva à l'endroit précis ou j'étais parti, je souris, il n'étais plus là, cet affreux pokémon était parti. J'alla voir mon sac, bien entendu, il avait grignoté la nourriture. Je soupira puis remarqua quelque chose d'étrange, un des pokeball de mon sac semblait... Etre pleine .

Me dit pas que...

Je sorti le pokémon capturé pendant que j'étais pas là, le cœur battant pour voir... Le cradopaud. Je glapis.

Non non c'est bon rentre...

J'étais maintenant « l'heureux propriétaire » d'un cradopaud, je regardais la pokeball avec une grimace d’horreur, me demandant qu'en faire.