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Erios... L'archipel aux climats variés a beau avoir l'air paradisiaque au premier coup d'oeil, la vérité est toute autre... tout n'est pas rose sous les cocotiers !
Kenaël, c'est le type qui n'a pas grandi dans sa tête. Grand enfant, toujours souriant, jamais méfiant, il apporte malgré lui la bonne humeur là où il passe. Volontaire, il ne rechigne jamais devant l'effort et met toujours toutes les chances de son côté pour réussir ce qu'il entreprend. D'aucun pourrait croire en l'entendant qu'il est narcissique et imbus de sa personne, ce qui est on ne peut plus éloigné de la vérité. Certes il se vante souvent, sans motif apparent pour la plupart du temps, mais c'est surtout plus un concept d'auto motivation qu'autre chose. Outre son caractère bruyant et un peu maladroit, c'est une jeune personne relativement ingénue, voir même carrément innocente, ce qui lui a certainement valu quelques ennuis, mineurs heureusement. C'est également une bonne pâte de chez bonne pâte. Qu'il connaisse ou pas son interlocuteur, il n'osera jamais vraiment le contredire, tentant toujours de comprendre son point de vue. Vous lui dites que le ciel est rouge et non bleu ? D'accord, pour les prochains jours, il tentera de prouver ce fait pour vous. Avec tout ça, vous vous dites certainement qu'il n'est pas très malin et... C'est le cas en fait. Son innocence le rend particulièrement facile à manipuler. Deux trois compliments, et ça y est, vous êtes son nouvel ami ! Car oui, c'est également un jeune homme très/trop (? sociable. Il a la conversation facile, même si ce qu'il dit n'intéresse pas forcément son auditoire, et il confie facilement son amitié. Sensible, empathique, il a beau être un peu simple, il a le cœur sur la main, et ça, c'est une qualité dont il ne se vante pas forcément, mais qui vaut le détour. Kenny, c'est également le garçon optimiste, un peu rêveur et ambitieux. Il voit toujours le bon côté des choses, parce que chaque chose a plusieurs facettes, et qu'il faut trouver la bonne. Il lui arrive de philosopher à ses heures perdues. D'aucun pourrait trouver cette habitude agaçante à long terme, mais pas lui, et c'est ce qui le pousse à sans cesse aller vers les autres. Pourquoi ? Parce qu'il sait, il sent qu'ils ont du potentiel, et qu'il sait, qu'il sent qu'il peut les aider à le faire ressortir. Oui, Kenny, c'est le genre de petit coach perso qui viendrait chez vous à 3 heures du matin juste pour vous encourager à ne pas manger cette glace qui vous fait de l'oeil, même si votre petit ami Charle Henry est parti avec cette sale Dorothée. Présent h24, 7 jours sur 7, vous pouvez compter sur lui n'importe quand pour n'importe quoi. En revanche, cette disponibilité lui semble tout à fait normal, alors il lui est totalement possible de venir sonner chez vous également à trois heures du mat parce qu'il se sent seul... Ou qu'il veut partager sa nouvelle trouvaille avec vous. Curieux, s'émerveillant d'un rien, Kenny n'est pas du genre difficile, même s'il se revendique gardien de moral et de principes – ce qui, d'un certain point de vue n'est pas forcément faux -, il vous aime déjà avant même que vous n'ayez dit un mot. Pas rancunier pour deux sous, il pardonne facilement, peut être un peu trop même, et il oublie tout autant : tant qu'il y a des excuses, tout va bien, n'est ce pas ? Ceci dit, ce garçon est, et restera du genre envahissant... Très, trop envahissant. Du genre à appeler toutes les heures pour savoir si ça va, s'il n'y a pas de problème, si le gaz a été fermé... Et pourquoi par Arceus on ne l'a pas rappelé?! Il donne beaucoup, et mine de rien, il demande beaucoup. C'est pas forcément voulu, mais c'est un fait. D'un autre côté, si vous vous êtes attaché à cette boule d'énergie, il faut savoir qu'il est.. Inconscient... Téméraire... Oui non, inconscient lui convient bien. Il ne remarque pas directement le danger, ou plutôt, il est convaincu de pouvoir y faire face. C'est une bonne chose, il a confiance en lui... Seulement voilà, ça marche pas forcément à tous les coups, et le pire, c'est qu'il recommence. Il se revendique également indépendant, et peut survivre seul (heureusement, sinon il ne ferait pas si long feu), mais quelque chose chez lui ne va pas : s'il prend soin des autres comme s'il s'agissait là de la huitième merveille du monde, monsieur, se croyant invincible, n'en fait pas de même pour lui. Il dort peu ou pas, parce que dormir, c'est pour les faibles, et ne sait pas quand s'arrêter. En gros, il ne connait pas ses limites, et si on pourrait trouver que c'est une bonne chose pour se dépasser tout ça... A outrance, ça ne l'est pas.
Ceci dit, et avec tout ça, Kenny adore la choucroute. Kenny aime cuisiner, faire du tricot et résoudre des casse têtes... Quoique les casse têtes n'aiment pas forcément résoudre Kenny...
HISTOIRE
Kenaël, c'est le type a qui il n'est jamais rien arrivé de bien palpitant, mais qui fait quand même comme si c'était le cas. Il est né à Port Maui, en été, et fut suivi quelques années plus tard par deux petits frères, et une petite sœur, respectivement nommés Ellioth, Thomas et Agathe, et surnommés Elly, Tomy et Agy. Aîné d'une grande fratrie, il développa bien vite un sens des responsabilités aigus, se considérant en charge du bien être de tous ces petits êtres. Il se découvrit à ce même un talent de meneur – du moins selon ses dires – et un goût prononcé pour la cuisine, à la grande joie de ses parents qui purent compter sur lui en toute occasion, et même plus. Et tant mieux d'ailleurs. Issus d'un père pêcheur et d'une mère couturière, toujours occupés il en fallait de la bonne volonté pour maintenir les trois petits monstres qui le précédaient. Oh, n'allez pas croire que leur maisonnée était un chaos indicible, loin de là, mais quand une troupe d'enfants en bas âges rentrent affamés de l'école... On est pas trop de trois pour les canaliser. Outre ceci, c'était une famille comme les autres, aimante, avec des hauts et des bas, des disputes des « j'te cause plus ! » qui ne duraient jamais plus de deux heures... Bref, c'était banal et réconfortant et... Ca l'est toujours d'ailleurs ! Bref, c'était un foyer chaleureux, remplis d'amour et de petits monstres turbulents... Oui, vraiment turbulents ! Turbulents au point de tenter les expériences les plus farfelues « au nom de la science ». Comme par exemple, remplir la baignoire d'eau, puis de papier hygiéniques, et voir si on pouvait en faire un radeau ? Ou alors, voir combien de chaussures les toilettes pouvaient supporter avant de se boucher ? Généralement, Kenny arrivait toujours avant ou peu après pour tenter de sauver les pots cassés, ce n'était pas toujours très concluant, mais au moins, ça n'empirait pas la chose... Sauf peut être la fois où il voulut également savoir ce qu'il y avait derrière la crique, parce qu'on disait qu'on pouvait y trouver des Krabby, et que la marée montante manqua d'emporter Tomy... Arceus ce qu'il s'en était voulu ce jour là... Il avait manqué de se noyer également en tentant de le récupérer, alors qu'il avait calé Agy et Elly sur un rocher... Sans l'intervention d'un vieux pêcheur du coin, ils n'en auraient certainement pas réchappés. A leur retour à la maison, ils furent punis pour leur irresponsabilité, et aucun d'eux n'osa protester tant la frayeur avait été grande... Ce qui ne les avait pas empêché quelques mois plus tard de recommencer leurs expériences. Et quelles expériences... Elly eut la brillante idée de voir comment le feu fonctionnait, et quand il se rendit compte trop tard que le bout de papier qu'il avait allumé était en train de le brûler, l'envoya vite sur le canapé. Manque de chance, Kenny rentra d'un cours de badminton à ce moment là et s’essaya sur le dit canapé... C'est là qu'il se brûla la fesse gauche, et aujourd'hui encore, une cicatrice y est toujours visible. Autant dire qu'il plongea rapidement son derrière dans de l'eau froide en réprimandant sévèrement son petit frère qui faisait la moue. On repassera pour la crédibilité. Ceci dit, en grand frère protecteur, il promit de ne pas dénoncer Elly, si celui-ci lui promettait en retour d'aider à la maison, chose qu'il finit par faire, parce qu'après tout, après lui, c'était le « deuxième aîné ».
Et ainsi, le temps passa, entre disputes, bêtises, compromis et bon repas de famille, Kenny approchait de l'âge adulte, Elly et Tommy de l'adolescence, et Agy commençait à comprendre qu'elle rentrait peut être dans une pré puberté sévère. Et c'est à cette époque que le destin de notre protagoniste se joua. Kenny, après avoir participé à différentes activités sportives toute la journée, rentrait chez lui, quelques courses sous le bras. Il faisait beau, quoiqu'un peu frais car le soleil déclinait, et alors qu'il empruntait une petite ruelle, il entendit des couinements quelque chose de faible, et des rires, quelque chose de fort. Interloqué, il s'approcha de la source du bruit : ses courses ne survécurent pas à ce qu'il vit et s'écrasèrent sur le sol. C'était, des enfants, joyeux, riant, il y en avait trois, ils s'agitaient. Ils s'agitaient, ils riaient, mais Kenny ne comprenait pas, paralysé. Lui ? Paralysé ? Oui, parce qu'il ne comprenait pas, qu'il ne pouvait pas comprendre, et surtout, qu'il ne voulait pas comprendre. A leurs pieds, ce n'étaient pas dans un ballon qu'ils tapaient, mais dans un petit pokemon, recroquevillé sur lui même, et qui ne tentait même plus de bouger pour s'enfuir. Seuls quelques gémissements lui échappaient de temps à autres, mais c'était tout... En fait, toute cette analyse ne lui prit même pas quelques secondes, et son corps avait déjà bougé pendant que ses courses chutaient encore. Kenaël n'avait jamais été un garçon violent, et il ne voulait pas le devenir. Même cette fois-ci, alors qu'il sentit une pulsion étrangère et violente en lui, il ne fit que repousser les enfants. Il n'avait jamais ressentit ça. Un sentiment bouillonnant, qui le prenait aux tripes et qui remontait doucement le long de sa colonne vertébrale... Et surtout, qui le faisait serrer les poings et les dents, et durcir son regard. « Oh, ça va, on s'amuse... » souffla celui qui semblait être le chef, la mine boudeuse. Arceus qu'il ressemblait à Elly quand il faisait ça, et Arceus qu'il ne pouvait pas comprendre comment quelqu'un ressemblant tant à ses frères pouvait agir ainsi. « Non, ce n'est pas un jeu, c'est cruel. J'avertirai vos parents ! ». Un ricanement leur échappa alors qu'ils lui tirèrent la langue et qu'ils s'enfuirent en courant, convaincus qu'il ne le ferait pas.. Après tout, il ne les connaissait pas ! Le soir même, Kenny rentra bien tard, sans les courses demandées, mais avec un paquet non identifié. Ce qu'il avait sauvé, c'était un Osselait abandonné. Il l'avait compris en voyant le carton non loin du pokemon. Il l'avait amené sans plus de cérémonie au Centre du Port Maui, et avait attendu depuis, même lorsque l'infirmière lui assura qu'ils s'occuperaient bien de lui, et lui trouverait un dresseur. Non, il n'avait pas confiance... Ce petit être lui semblait si fragile... Il déclara haut et fort qu'il en prendrait soin lui même ! De retour chez lui, on le questionna longuement sur le pourquoi du comment, et on ne put que l'approuver, même si le repas se fit frugal. La famille comptait désormais un nouveau membre, un bébé Osselait nommé Ketchup... Parce qu'il aimait le ketchup. Kenny s'y opposa, parce que ce n'était pas sérieux. Il proposa Kenny II, mais ce fut le tour de sa famille de proteste, et puis finalement, alors que le pokemon attrapa une crise de hoquet, il fut décidé de l'appeler Muffin Kenny II... Abrégé en Muffin, parce que c'était mignon.
Trois ans s'écoulèrent alors. Au début, Muffin était craintif, farouche, et peu coopératif. Il ne connaissait pas d'attaques, mais il lançait tout ce qu'il pouvait trouver sur Kenny, parce qu'il ne voulait pas qu'il s'approche... Mais à force de se cotoyer, il commença à le tolérer, puis à se rendre compte que.. Arceus ! C'était franchement un idiot finit. Il était idiot, bruyant, maladroit, et qu'est ce qu'il parlait... Qu'est ce qu'il sermonnait... Et qu'est ce qu'il était bonne poire... On dit que les pokemons grandissent plus vite que les humains, qu'ils deviennent plus mature... Muffin ne fit pas exception à la règle, et comprit bien vite que même si ces humains étaient bizarres, ils ne lui voulaient pas de mal. Même s'il avait eut une très mauvaise expérience, il commença à leur faire confiance peu à peu, et à apprécier les repas que Kenaël pouvait lui offrir... Et qu'est ce qu'il lui offrait des repas... Il avait lu dans le guide « Comment se faire aimer de son pokemon en 4 leçons », que la nourriture était la base de toute relation... Il n'avait pas lut le reste et avait suivit ce seul conseil... Ne vous demandez plus pourquoi Muffin a le bidou aussi rond maintenant. Il finit donc, je disais, par le tolérer, puis par le trouver amusant... Et finalement, avant qu'il ne s'en rende compte... Il l'aimait déjà, il l'admirait. Arceus qu'il était simple... Mais qu'il était admirable! Emu, touché, il se promit de ne jamais quitter ses côtés, tout comme Kenny lui avait promis de ne jamais l'abandonner... Et ils devinrent inséparables... Ou presque. Le caractère de Muffin s'affirma, et pas forcément de la manière à laquelle on pourrait s'attendre : il aimait manger, il aimait le ketchup, et il aimait dormir. Et Kenny avait beau lui courir après pour le tanner et lui dire de s'entraîner, il ne bougeait pas d'une griffe. Et puis.. Et puis vint le jour où ses frères et sa sœur se firent responsables, et où il se rendit compte que sa famille n'avait plus besoin de lui comme avant. Ce jour là, il avait toujours crut qu'il serait le frère le plus heureux du monde... Mais il se sentit vide, sacrément vide, comme si une partie de sa vie venait de lui être arrachée... Et maintenant ? Qu'allait il faire ? Il ne savait pas, il n'avait jamais su, et malgré son caractère, il était terrifié. Bien sûr, les badges l'avaient toujours attirés, comme les concours et les voyages, mais il n'y avait jamais sérieusement pensé... Morose, se fut une conversation avec son paternel qui finit par le décider. Ils parlèrent longuement face à la mer, évoquant le bon vieux temps, les souvenirs, et les rêves, le tout bourré de métaphores sur l'océan, les vagues et les tempêtes, tellement que Kenny ne les comprit pas toute... Mais l'essentiel était là : vis ta vie, vis tes rêves, la porte de notre foyer te sera toujours ouverte... Le lendemain, son sac était prêt. Il ne lui restait plus qu'une chose à faire... Saluer Muffin. Oh, il l'aurait prit avec lui, pour sûr mais... Il savait à quel point le pokemon aimait le confort, et la chaleur d'un foyer. « Ce n'est pas un abandon » lui souffla t'il en tentant de masquer ses larmes. Peine perdue, il éclata rapidement en sanglot quand l'Osselait lui attrapa le lacet pour le retenir. Il devait partir, il devait trouver sa voie, quelque chose il devait... Il devait... Il devait garder Muffin avec lui... C'était évident... Mais il ne voulait pas l'obliger à se battre, il ne voulait pas, pas après ce qu'il avait vécu... Et Muffin... Muffin savait, Muffin acceptait, Muffin le voulait lui aussi. Il lui fit comprendre en roulant vers le jeune homme une pokéball abîmée... Et Kenny pleura, comme jamais il n'avait pleuré. Ce n'était pas de la joie, pas de la tristesse... Enfin, si, peut être un peu de la joie, mais surtout de l'émotion et de la fierté. Il récupéra la pokéball, salua sa famille, subit les moqueries sur ses yeux rouges avec dignité, et prit le chemin vers l'aventure. Il s'était promis que jamais il ne ferait rentrer Muffin dans sa pokéball, et se repentit rapidement lorsque le pokemon s'affaissa par terre, épuisé après seulement quelques minutes de marche. Ce ne fut néanmoins pas ce contretemps qui arrêterait la marche de son destin qu'il savait grandiose. Et Muffin dans les bras, il partit vers une... Peut être pas si grande aventure que ça en réalité...
Ainsi, plein de bonne volonté, il emprunta la route de l'aventure et du danger ! Tout était source de surprise à ses yeux, un peu moins pour ceux de Muffin qui les roulait souvent lors des exclamations diverses de son dresseur. Il ne se plaignait pas trop non plus, car la bonne poire qui lui servait de "maître" était également celle qui lui servait de moyen de transport, et c'était tout de même vachement plus confortable de voyager dans ses bras qu'à pied, alors il se faisait discret lorsqu'il se moquait de lui. Et puis, peu de temps après son départ, quelques jours en réalité, il fit face à sa première péripétie. Loin des sentiers battus, car comme chacun le sait, on ne fait pas grande chose en faisant comme tout le monde, il se fit violemment agressé par un insolite duo de petits pokemons. Mise à mal par un déluge de pierre, il ne put que se cacher derrière un arbre pour aviser la situation. Certain d'avoir à faire à un troupeau de Grolem (oui, de Grolem, parce qu'il voit les choses en grand), il envisagea un court instant de se battre, puis il avisa Muffin, qui ne connaissait encore aucune attaque offensive. Saurait-il rugir assez fort pour apeurer ses ennemis ? Et puis... Il se rappela à quel point Muffin était rond et mignon, et il sut que c'était peine perdue. Finalement, le déluge de pierre cessa, certainement par manque de munitions, et le dresseur osa sortir de sa cachette, bien plus bravache que le Osselait qui agrippait son pantalon de toutes ses forces. Qu'est ce qui lui avait prit d'avoir voulu l'accompagner ? Et puis... Il se calma quand il entendit la voix de Kenaël, et qu'il vit leurs opposants. Une Férosinge, et un Marcacrin, visiblement affamés et fatigués au vue de leur piteux état. Evidemment, Kenny leur propose de quoi se nourrir avec un sourire avenant, ce qui ne l'empêcha pas de les sermonner de longes heures, même s'il ne comprenait rien et que Muffin l'imitait par derrière. Ils reprirent la route à deux, mais détail important, leurs deux agresseurs les suivaient désormais, le Marcacrin parce qu'il voulait encore manger, la Férosinge parce qu'elle... Avait perçu la cosmo énergie de Kenny ? Quelque chose comme ça. J'aurais put dire que leur capture - car oui, ils furent finalement capturés - fut belle et empli d'émotions, mais en réalité, le jeune homme ne comprit absolument pas leur intention dès le début, et se fut Muffin qui, au final, attrapa deux pokéballs pour lui faire comprendre. Ainsi entrèrent dans l'équipe deux nouveaux membres, renommés par la famille du dresseur lorsque celui-ci retourna chez lui pour les présenter, trop heureux de voir son équipe déjà agrandit. Il fit fi des moqueries qu'on lui adressa, et son père l'enjoignit de ne peut être pas rentrer à chaque découverte qu'il faisait : un simple appel ferait l'affaire... Et Kenny reprit la route, fort de deux nouveaux camarades !