Who the hell are you ?
	Ft Eli
▬ Agent Alvin Volfan, eh ? Le sbire soupire car même s'il se doutait atrocement que l'autre lui avait mentit sur son identité.. Son choix de nom était plutôt douteux. Alioth ? Sérieusement ? Prendre le nom d'un des membres de la Ligue Clandestine n'était pas des plus judicieux mais bon, ça l'arrange. Il aura tout de même fallut un petit moment pour que le background check demandé soit réalisé et qu'on lui donne toutes les informations sur le policier. Toutes celles qu'Ambrosia pouvait récolter du moins. Pour le reste et pour s'assurer qu'il n'a rien trouvé de compromettant sur eux, Matjaž est obligé de se rendre sur place. Il n'est pas sûr d'être le plus qualifié pour mener l'enquête ceci dit mais n'a pas protesté pour autant. Tout ce qui concerne cet agent semble désormais lui être assigné, qu'il le veuille ou non. Il arpente donc les rues de la Capitale de nuit, avec sa fidèle Fouinar nichée autour de son cou. Vraisemblablement, Alvin devrait assurer un service de nuit pour remplacer un collègue, ou quelque chose comme ça. Il se fiche des détails tant que ça lui laisse le temps de fouiller à son aise. Il profite alors un instant de la lumière d'un lampadaire pour vérifier l'adresse qu'on lui a donné et c'est finalement après une quinzaine de minutes de marche qu'il arrive devant la maison du policier. Le nom sur la boîte aux lettres lui donne la confirmation nécessaire pour appeler Pierrot, son Girafarig, histoire que ce dernier force la serrure avec une attaque psy dans la simplicité la plus totale. Et ce, une fois que Fanny la Motisma ai joyeusement fait jouer les lumières éclairant la rue pour que Mat et ses pokémons se faufilent sans êtres vus. Jouer aux espions n'est pas facile qu'il conclut sur le palier en faisant rentrer l'intégralité de ses pokémons pour ne pas laisser de poils ou de traces dans la demeure de leur ancien invité. Lui-même est habillé tout en noir, masque, gants et tennis compris, un véritable ninja premier prix. Il ne peut même pas allumer les lumières et devra se contenter d'une lampe torche pour ne pas trop attirer l'attention des voisins, tant de joie. Si avec ça il n'a pas d'augmentation.. Il demandera des cours à la pseudo ninja d'Ambrosia. En attendant il fait comme chez lui et s'introduit avec un malin plaisir dans les différentes pièces, s'assurant à chaque fois qu'elles sont désertes. Après il doit réfléchir.. Où est-ce que Volfan pourrait ranger des documents compromettants ? Surtout qu'il n'est plus un simple agent, il a peut-être d'autres choses intéressantes chez lui maintenant. L'adolescent aux cheveux trop colorés pour être discret ne se met sérieusement qu'à chercher après s'être emparé d'une canette dans le frigo du plus âgé. Le respect ? Nope, il ne connaît pas et il le boit. Parce que jusque là, son infiltration a été parfaite et s'est déroulée sans encombres alors le sbire est serein.. Sauf que quand il entend quelqu'un rentrer, la panique le frappe soudainement et il lâche la canette, laissant cette dernière déverser son contenu lentement au sol tandis que lui s'enferme dans la pièce la plus proche. .. Est-ce qu'il va vraiment devoir neutraliser quelqu'un ? Et surtout, pourquoi est-ce que le policier est déjà là ? Si ce n'est pas lui, qui ? Mat lâche un grognement involontaire, maudissant finalement cette mission.

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La capacité humaine à supporter les épreuves ressemble au bambou : beaucoup plus souple qu'on ne le croirait jamais à première vue.

Whoops, you're dead

C'était un soir banal, magnifique, mais banal. Le ciel était envahi par les étoiles et la lune trônait fièrement. La jeune femme s'arrêta un moment pour contempler le ciel. Élisabeth adorait s'arrêter à c'est petite beauté de la vie. La lune semblait comprendre son stresse et son inquiétude que la jeune femme ressentait pour le moment. Puis elle reprit sa marche jusqu’à la maison d'Alvin.  Il est clair qu'elle n'avait pas d'affaire là. Les rues étaient particulière calme et silencieuse. D'ailleurs, elle ne croisait presque personne. Bon, il y avait un homme louche assis dans l'arrêt d'autobus. Elle s'éloigna sans lui donner l’occasion d’adresser à elle. La lumière de la lune était plus rassurante que cet homme qui sentait la vodka à plein nez. D'ailleurs, elle commençait à avoir hâte de rentrer chez Alvin. D'ailleurs son sac contenait une petite épicerie devenait lourd pour ses bras. Cependant, la violoniste avait une bonne raison d'être là et Alvin était au courant de sa présente dans sa maison. Par contre, il n'était pas là. Il était de garde à cause d'une coupe budgétaire - un des policiers avait été renvoyé pour une obscure raison et il gardait le fort pour la nuit. Enfin c'est la version abrégée.

Élisabeth quant à elle, s’inquiétait pour son Évoli blanc. Elle avait commencé à faire de la fièvre et l'avait confié au centre Pokémon qui était proche de la maison d'Alvin. Enfin, la maison était plus proche du centre Pokémon que son appartement. Elle ne comprenait pas cette soudait poussé de fièvre et la jeune femme était des plus inquiète. L'infirmière avait préféré le garder en observation pour la nuit. D'ailleurs, l'épicerie était pour cocotté un repas pour remercier son ami d’accepté qu'elle reste chez lui le temps de son Pokémon soit au centre Pokémon.

Élisabeth arriva finalement. Elle déverrouilla la porte sans se douter de rien. Un bruit qui provenait de la cuisine vient briser le calme de la maison. Élisabeth n'était pas certaine d'avoir bien entendu. C'était surement son imagination qui lui jouait des tours. D'ailleurs, l'Homme louche lui avait fait peur et c’était surement ça avec une touche de son imagination qui lui jouait des tours. Elle déposa ses clés et verrouilla la porte dernière elle. Elle alluma la lumière de l'entrée et se dirigea vers la cuisine question de mettre au froid toute cette bonne nourriture. Lorsqu'elle alluma la lumière de la cuisine c'était là qu'elle vit la canette au sol avec toute son contenue qui marquait le plancher. Elle déposa son sac sur le comptoir.

« Bizarra ça, cré Alvin!!!! » dit-elle en faisant dos à la personne qui était caché. Elle se devrait de tout nettoyer. Tous ses Pokémons autres qu'Évoli était dans leur Pokéball qui se trouvait dans son sac à main qui est resté dans l'entrée.

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	Who the hell are you ?
	Ft Eli
Sa respiration est lente, peut-être un peu trop. Il a dû mal à prêter attention à "l'intrus" avec le bruit de son cœur qui cogne avec violence contre sa cage thoracique. Il sait qu'il est stressé ! Il n'a pas besoin de son corps pour lui rappeler. D'une main il se masse le ventre avec espoir que ça le soulage de la boule qui semble s'y former, ruminant intérieurement. Il n'a pas le choix, la demoiselle ( il suppose, n'ayant entendue que sa voix ) ne semble pas prête à partir de si tôt alors monsieur va devoir passer à l'action et s'en débarrasser. Plusieurs solutions s'offrent à lui et le sbire ne sait pas laquelle est la plus simple. Doit-il risquer sa couverture pour voir le profil de son opposante ? Il faut croire. Avec la plus grande délicatesse dont il est capable, l'amateur de robes pousse la porte pour que cette dernière soit entrouverte, afin de jeter un œil sur sa cible qu'il découvre au même moment. Et pour être tout à fait franc, Mat est surpris. Intrigué même. Il dévisage l'inconnue qui n'a pas l'air d'être de la famille du policier, vu qu'on ne lui a signalé que ses parents résidant à ce même domicile. Puis il réfléchit et c'est vrai qu'il n'y a pas grand monde qui pourrait entrer à cette heure-là chez quelqu'un, surtout qu'elle semble avoir utilisé un trousseau de clef. .. Une amie ? L'heure et les courses sous-entendent autre chose. Une petite amie ? Cet idiot de Volfan est capable de se trouver une copine aussi potable ? Voilà que le sbire est sincèrement traumatisé. Certes. Lui-même ne s'est pas gêné pour se rincer l’œil dessus mais vivre avec ? Et chez les parents de ce dernier ? Pauvre demoiselle, une deuxième amatrice de choix douteux. Perdu dans son choc et dans un moment d'appréciation et de jalousie de la crinière blonde de l'autre, il en oublie presque ce qu'il s'apprêtait à faire. Alors il se tapote les joues en guise de réveil et de motivation et décroche de sa ceinture une petite sacoche. De cette besace, il sort un chiffon et une bouteille bien sympathique dont il déverse le contenu sur le drap avant de se faufiler hors de la pièce. Il se glisse vers la miss mais le plancher craque et finalement, il lui tombe un peu dessus en écrasant maladroitement mais avec force son chiffon. Est-ce qu'elle a vu son visage masquée ? Il ne veut même pas y penser. ▬ Facilite-nous la tâche, princesse. Qu'il lui implore dans un murmure, la main toujours collée sur son visage et l'autre la tenant fermement autour de la taille. Plus vite elle dormira, plus vite il pourra en finir avec cette mission. Et si ce n'est pas assez et qu'elle décide de compliquer inutilement les choses, tant pis. Des gens disparaissent tous les jours.

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Whoops, you're dead

Élisabeth connaissait  bien Alvin et ses parents. Jamais, il n'aurait laissé un dégât sur le planché. Son meilleur ami était le contraire de la majorité des gars qu'elle connaissait. Il aimait l'ordre et la propreté. Peut-être un avantage au fait qu'il était du genre coincé? Remarque, elle n'était pas mieux de lui. C'était une fille réservée et timide. Bon, sauf lorsqu'elle commençait à jouer du violon. Ça c’était une tout autre histoire.

D'ailleurs, il avait un autre point curieux dans la maison. Voir très anormal. Eiki n'était pas venue la voir ni Kiwi (Quoique Kiwi, elle ne s'en plainait pas trop, Il lui donnait des frissons dans le dos. Il était plus cute que les autres mimigales, il avait quelques choses d'étranges...) Pour ce qui est des autres, il était moins porté à venir la voir. Ses Mimigales aimaient surtout lui faire peur. Elle avait horreur de ce Pokémon. Essuie-tout à la main, elle hésitait sans comprendre pourquoi. L'absence des Pokémons d'Alvin n'était pas rassurante. Alors qu'elle était sur le point de se retourner, elle vit une ombre, un vague reflet dans la vitre d'un cadre. Ce cadre contenait une photo qui datait de son adolescence. On pouvait la voir avec Alvin et son jumeau. Elle n'avait vu qu'une ombre de reflet

L'inconnu lui plaqua un mouchoir sur sa bouche et visage, l'empêchant de crier. Élisabeth tenta de crier, mais sans réel succès. Il n'était pas allé de main morte. Quelque peu maladroit, mais il avait beaucoup de force. Elle était certaine d'avoir droit à un bleu sur sa bouche. Est-ce simplement possible? Bref, il mettait une sacrée pression.  Bon, il était là pour se débarrasser d'elle et non pour lui donner des fleurs.

Élisabeth se débattit du mieux qu'elle pouvait.  Ses bras étaient bloqués par le bras du ravisseur.  Ses pieds y allaient avec force - une force facilement maitrisable pour un jeune homme. Élisabeth n'était pas la fille qui avait le plus de force. Elle tenta je lui donner de coup dans les jambes.  Malheureusement pour la jeune fille,  son cœur s'affolait davantage qu'il ne devait, elle sentait le danger qui venait de son cœur délicat... Son esprit s’embrouillait de plus en plus pour sombré dans la noirceur. Heureusement, elle avait assez respiré du produit pour sombrer dans un sommeil et calmé son cœur un moment.... Le murmure de l'inconnue était des plus flou...

Alors qu'elle ne réagissait plus, Un Mustebouée sauta sur le comptoir pour faire face à l'intrus, alors qu'un Mimigale d'ario se tenait au plafond pour la suite.

Spoiler:

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	Who the hell are you ?
	Ft Eli
Le combat est difficilement gagné tant la demoiselle se débat. C'est que lui aussi ne s'en sortira pas indemne, sûrement couverts de bleus parce qu'elle n'a pas voulu coopérer ! .. Bon, en même temps, qui se laisserait gentiment endormir eh ? Alors quand elle est enfin contre Cresselia, l'ancien blond soupire de soulagement. Il va la poser dans un coin, aller plus vite qu'il ne l'avait prévu et puis basta ! Retour au bercail et s'ils ne sont pas satisfaits de ce qu'il ramène, ils avaient qu'à envoyer quelqu'un de mieux formé ! Non mais ! Cependant la victoire ne lui est pas donnée quand la miss a enfin sombré et des pokémons décident de le défier. .. Il ne les avait pas aperçu en rentrant tiens. Quelle plaie. ▬ Très admirable les gars mais n'essayez même pas de jouer au plus con. Il leur sourit derrière son masque et présente la lame d'un couteau de chasse au cou de son otage qu'il tient désormais d'une main en faisant glisser de sa manche trois pokéballs. Il ne voulait pas en arriver là et est forcé de refaire ses plans, caressant dangereusement la jugulaire de celle qui l'a mis dans cette galère. Tiplouf, Motisma et Miaouss sont désormais de sortis et saluent fièrement leur nouveau public, non sans les dévisager avec une certaine suffisance. Les torses sont bombés et les attaques menacent de tomber. Ce n'est pas ce que le sbire souhaite car un combat laisserait trop de traces de leur passage, trop d'indices pour les retrouver. Alors ils ne sont là que pour menacer tandis qu'il fronce les sourcils pendant que sa réflexion le fait serrer un peu plus l'endormie. ▬ Vous allez me laissez faire ce que j'ai à faire, que ce soit bien clair. C'est avec douceur qu'il la pose, comme un gage de confiance parce qu'il faut être calme quand la tension étouffe la pièce, ne pas être l'allumette qui conduit à l'explosion. Mais il n'est pas tiré d'affaires peu importe le scénario. Sa lèvre inférieure souffre de sa réflexion qu'il presse, que par pitié, une idée lui vienne ! Et il y en a bien une qui germe, imparfaite et brute, insatisfaite sur le long terme mais.. Il n'a pas le choix n'est-ce pas ? Ses supérieurs comprendront son embarras ? Les policiers délaisseront vite ce cas ? Ça n'intéressera pas plus que ça les médias ? Une jeune fille qui fugue, c'est commun.. Il ne reste donc plus qu'à disposer des témoins s'ils ne veulent pas reculer d'eux-mêmes.

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Whoops, you're dead

Élisabeth avait rejoint le monde des rêves contre son gré. Bien que son esprit surchauffait idée absurde, elle ne savait plus ce qui se passait réellement. Une pression inconfortable sur son cou se reflétait dans son esprit ou son rêve. Est-ce qu'elle rêvait cette pression? Était-ce une illusion? Un scénario anxieux de la jeune femme se créait?  Pendant, qu'elle était piégée dans un sommeil non volontaire, les Pokémons d'Alvin étaient pris avec un choix difficile.

Mustebouée  avait sauté sur le comptoir prêt à affronter son adversaire. Gonflé à bloc, prêt a tout pour cette humaine qui était si douce avec lui. Comment ne pas s'attacher à cette jeune femme? Il adorait lorsqu'elle faisait la cuisine et qu'elle partageait avec lui. Sans conter sa musique qui le faisait voyager dans un univers mystique. Elle n'était pas sa dresseuse, mais il l'appréciait et ne voulait pas qu’on lui fasse du mal. Malheureusement, l'intrus n'avait pas épuisé ses ressources. Mustebouée est jeune et inexpérimenté et lorsque l'intrus libéra trois de ses compagnons. Il savait, il les savait beaucoup plus fort que lui et savait aussi, sans savoir vraiment que la lame sur la jugulaire de la violoniste pouvait lui couter la vie.

Il était sur le point d'attaquer et il sentait le danger pour la vie d'Élisabeth, mais il sentait la puissance des trois Pokémons fraîchement sortie de leur Pokéball. Il ressentait quelques choses de mal saines de la part des intrus. Que faire... Se battre et risquer la vie de la douce blonde? Se retirer comme un lâche et laisser l’ennemi quitter la maison? Ou peut-être.... Il recula un pas... Même Mimigale au plafond recula pour laisser plus de place à l'intrus... L'ennemi gagnait cette bataille, mais pas la guerre. Il avait un plan... Un plan pour lui venir en aide. Mimigale quitta la pièce par le plafond. Mustebouée recula de quelques pas, question d'être de bonnes fois. L'intrus avait champs libres dans la cuisine...

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	Who the hell are you ?
	Ft Eli
Mat décide qu'il n'aime pas le Mustebouée. Ce dernier ne se plie pas tout de suite à leurs menaces et ça l'agace. Il ne veut pas de cet otage ! Il voulait juste faire son travail. Correction ! Il devait rattraper les bêtises des autres et ce, en tant que petit sbire sans grands moyens. Heureusement que la paye est suffisante pour qu'il vive bien sinon il se serait déjà cassé. Si c'est possible. .. Oh puis au point où il en est, il aurait sûrement tenté le tout pour le tout. M'enfin. Avec tout ça il en oublie ses adversaires qui déguerpissent. Ils auraient enfin compris ? L'ancien blond en doute fortement et appelle à la vigilance en un signe donné à ses pokémons. Mais ils vont profiter de cette fausse victoire qu'on  leur offre pour se débarrasser des preuves les plus incriminantes. Prince le Tiplouf s'occupe de rendre Varlet le Miaouss misérable en mouillant son pelage. Ainsi il se fera passer pour l'intrus qui a tant saccager l'appartement. Et pour être sûr qu'on ne remonte pas à lui, son dresseur cassera sa pokéball plus loin pour que son pokémon soit vraiment considéré comme sauvage. Pour le moment il doit appeler Pierrot pour que le Girafarig fasse la traduction de ce que Mat pense mais n'ose pas dire, sait-on jamais qu'il soit sur écoute. ▬ Ecoute-moi très attentivement. Que le sbire commence à dire la voix basse et la plus intimidante possible, tout en laissant soin à son Motisma de menacer la belette d'eau avec ses éclairs. Mat la regarde un instant tendrement, elle aussi, il devra la relâcher. Juste le temps de leur plan mais ça lui fait comme un petit pincement au coeur.. Ou alors c'est juste son corps qui n'apprécie pas l'effort de devoir reporter la belle aux bois dormants. ▬ Je vais prendre cette femme peu importe son nom et sa relation avec l'agent Volfan et tu vas me laisser faire. Vous allez me laisser. Et vous la retrouverez vivante car elle ne m'est d'aucune utilité. Sur ce, Pierrot est mis à contribution pour porter la jeune femme et Tiplouf revient vers son maître qui salue les deux autres compagnons qu'il abandonne un peu à leur sort. Le rôle du saccageur pour Varlet sera simple mais Fanny reste là pour maîtriser le Mustebouée et surtout, jouer à la maison hantée dès qu'elle aura la chance de s'infiltrer dans le premier appareil électrique qui lui fera de l’œil. Mais peuvent-ils vraiment fuir jusqu'à la porte ?

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Whoops, you're dead

La maison familiale était d'une propreté digne des plus grandes revues d'intérieur. Élisabeth était toujours impressionnée par cet ordre qu'il y reignait continuellement comme si le temps s'était arrêté dans cette demeure. Alvin ne dérogeait pas à cette règle et il était leur digne fils. Surprenant pour un jeune homme célibataire.  La première fois qu'elle avait été invitée dans leur maison, la fillette s'était sentie étrangère dans ce monde parfait. Bon, elle s'y était habituée et essayait de les prendre en exemple pour son petit 3 et demi. Pas toujours parfaite, elle était satisfaite de la propreté de son appartement. Il avait très peu de choses qui trainaient et souvent c'était des partitions près du piano ou lorsque ses Pokémons faisaient des mauvais coups.

Avoir été témoin du désordre qu'il était en train de créer, elle aurait paniqué. Toujours endormie dans son coin, elle était la plus sage pour le moment. Prisonnière d'un sommeil forcé, son esprit luttait pour fuir ce piège. Elle était bien incapable de savoir si ce qu'elle voyait était réel ou pas. Tout semblait si vrai et à la fois si faux avec la touche d’exagération que son esprit inventait.

Mustebouée s'était éloignée signe qu'il se pliait devant l’ennemie. Un des Pokémons transmit un message de l'humain. Par craindre d'être sur écoute ou pour être sûr que les Pokémons d'Alvin comprennent les intentions de l'intrus.  Mustebouée écoutait attentivement tout en portant une attention a Élisabeth.Bref, il ne voulait pas d'Élisabeth, mais partait quand même avec. Devant ce fait, il grognait pour montrer son mécontentement. Motisma le menaçait d'éclair. La puissance du Pokémon était épeurante. Alvin n'allait surement pas croire que ses propres Pokémons aurait laisser un Pokémon ''sauvage ''faire le bordel sans intervenir... En le laissant agir, il s'était une tentative de message pour son maître.

Élisabeth était délicatement déposée sur le dos du Girafarig. Elle ne se rendait compte de rien, toujours prisonnière du monde des rêves. Alors, qu'il allait sortir de la maison... Minigal d'Arios les attendait  s'était installé dans l'arbre pour tenté de les suivre. La question était de savoir si le sbire ou un de ses Pokémons allaient se rendre compte de sa présente et si oui? Allait-il se faire attaquer? Musteboué les suivait de loin dans la maison laissant l'autre Pokémon faire son saccage... Quel serait la réaction du sbire devant leur comportement...

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